Terre net

Le syndicat Coordination rurale dans le Lot-et-Garonne (CR47), particulièrement virulent lors du mouvement de colère agricole en janvier, a appelé lundi à une nouvelle mobilisation à partir du 19 novembre et à bloquer le fret ferroviaire faute de réponse de l'État.

Dans moins de trois mois, les agriculteurs et les autres ressortissants du monde agricole éliront pour six ans leurs nouveaux représentants aux chambres d’agriculture. À qui ce scrutin est-il ouvert ?

La fermeté des huiles végétales maintient le colza dans le vert malgré la pression de l’eurodollar.

Les prix du blé restent mis sous pression par la concurrence russe, tandis que le maïs profite d’un bond des cours du brut.

[Contenu proposé par La Pomme de terre française] Les traditionnelles plates-formes d’essais des firmes phytosanitaires se sont déroulées cet été, où l’accent a été mis sur la protection contre le mildiou. L’occasion de faire le point sur l’efficacité des produits actuels et de dévoiler ceux à venir.

Des parlementaires veulent taxer plus fortement les produits sucrés, en espérant un effet dissuasif tout en redressant les comptes publics. Les fabricants rechignent, même si plusieurs études chiffrent le coût important de la « malbouffe » pour l'État et la société.

« Ce serait un gros coup de masse » : au Salon du chocolat, debout derrière son stand où sont alignées des petites ganaches carrées, Maxime Henry confie être « inquiet » face à la menace d'un durcissement fiscal pour les chocolatiers.

Les prix du blé reculent face aux améliorations climatiques annoncées dans le Midwest, tandis que l’huile de soja accélère à la hausse.

Temps de disette au pays du « quoi qu’il en coûte ». La trésorerie fait défaut. L’heure est à la recherche d’économies et les ventes de matériels agricoles accusent le coup. Le marché s’adapte et offre des solutions… bienvenue dans l’univers de la pièce détachée !

Le président de la FNSEA Arnaud Rousseau a déploré jeudi que l'examen parlementaire du projet de loi d'orientation agricole n'ait lieu que début 2025, estimant que les agriculteurs avaient « besoin que ça avance » pour voir « des décisions concrètes dans leur cour de ferme ».

À l’occasion d’un déplacement dans une exploitation agricole de l’Essonne jeudi 31 octobre, la ministre de l’agriculture a annoncé la mise en place d’un contrôle administratif « unique », via une coordination des contrôles par le préfet.

Les prix du colza subissent quelques prises de bénéfices après avoir enregistré un nouveau record de campagne lors de la séance de la veille.

Les prix du blé et du maïs restent logés en territoire négatif face à des conditions climatiques plus favorables et à la pression des moissons.

[Contenu proposé par La Pomme de terre française] Un nouveau négoce de pommes de terre s’est créé dans la Marne : Patatak.

Après un rebond mardi, les cours mondiaux des céréales étaient de nouveau orientés à la baisse mercredi dans un marché incertain avant les élections américaines. La tendance générale reste au repli et les opérateurs sont prudents, de la Bourse de Chicago à celle de Paris.

Les prix du blé ont maintenu une petite dynamique haussière à Chicago. Le maïs a en revanche reculé sous la pression des moissons.

Ancien trader chez Cargill, Constant Thirouin est aujourd’hui agriculteur et consultant pour Piloter sa ferme. Il revient avec nous sur la spéculation, et notamment sur la présence d’acteurs financiers sur les marchés du blé, du maïs et du colza.

Les pluies se raréfient enfin en Europe de l’Ouest, tandis qu’en mer Noire, aux États-Unis et au Brésil, c’est à l’inverse le retour des précipitations qui rassure.

La gestion des larves d’altises d’hiver passe par la combinaison de leviers agronomiques et l’usage de solutions insecticides efficaces et disponibles selon les territoires. L’analyse de risque intègre le niveau d’infestation et le risque agronomique à la parcelle.

Les exportations européennes de blé tendre vers les pays tiers maintiennent une cadence particulièrement faible. Selon la Commission européenne, depuis le 1er juillet dernier, le cumul se limite en effet à 7,3 Mt, soit un décrochage de 3,6 Mt par rapport à l’an dernier et un volume comparable à la campagne 20/21. Ce déclin est notamment à porter au compte de la France, dont les chargements portuaires accusent un décrochage de près de 50 % en comparaison de l’an dernier, tandis que les exportations roumaines, elles, restent dans leur moyenne.