Le marché foncier agricole francilien se caractérise surtout par un faible nombre de transactions qui rend l’analyse difficile. Le prix des terres atteint en moyenne 7 580 €/ha.
Yourte, tiny house ou caravanes : contraints par le coût du foncier et des revenus limités, mais aussi par envie, de jeunes agriculteurs décident de vivre en habitat léger sur leurs exploitations, un choix pas toujours bien accepté.
Entre une récolte de blé calamiteuse ou la réapparition de maladies dans les élevages, les agriculteurs font face à des crises à traiter urgemment et « les JO ne peuvent pas se traduire par une absence » de gouvernement, a estimé le patron du premier syndicat agricole dans un entretien à l'AFP.
[Contenu proposé par La Pomme de terre française] L’essoufflement de la demande en pommes de terre bio observé ces dernières années a entraîné durant la dernière campagne (2023-2024) une baisse importante des surfaces. Malgré un rendement en hausse, les volumes récoltés se sont effondrés de près de 20 %.
Des perspectives de récoltes élevées aux US continuent de peser sur les prix du maïs et du soja.
Un climat plus chaud et sec s’installe finalement en France et en Allemagne. Ces mêmes conditions menacent toutefois les cultures de printemps en Europe de l’Est.
L’emblématique usine implantée en Angleterre enchaîne cette année les chiffres et les étapes symboliques.
Les cours du blé remontent légèrement avec la confirmation d'une moisson s'annonçant « catastrophique » en France et une grosse commande égyptienne, les prix du maïs restant tiraillés entre les récoltes aux Etats-Unis et celles autour de la mer Noire.
La fermeté des céréales et une production européenne décevante tirent les prix à la hausse, au sein d’un complexe oléagineux toutefois encore déprimé.
Les estimations catastrophiques de la récolte française et un regain remarqué de la demande mondiale motivent la reprise du blé.
Si le mois de juillet s’est révélé conforme aux principaux paramètres climatiques moyens, la chaleur est arrivée tardivement, après une première quinzaine plutôt fraiche, selon le bilan de MeteoNews.
La récolte catastrophique en France motive un rebond des cours outre-Atlantique.
Un besoin pour de nombreux porteurs de projet, qui cherchent à améliorer « la visibilité de leur activité », constate Mickaël Tremel, conseiller circuits courts à la chambre d’agriculture de Bretagne. Or, communiquer « est un métier à part entière, s’ajoutant à toutes les autres choses très diverses qu’un agriculteur doit savoir faire ».
Le marché foncier agricole est à la hausse, mais les évolutions restent très hétérogènes entre les différents départements, et entre les secteurs agricoles.
Le constructeur alsacien propose désormais des modèles à socs (BTFR 5010) et monodisques (BTFR 5020) d’une largeur de travail de 5 mètres.
Le groupe spécialiste des marchés agricoles estime, d’après un récent sondage de terrain, que la récolte de cette année est la plus faible, en volume, depuis 1983, et regrette également une qualité des blés très hétérogène.
Le marché européen s’appuie sur une consolidation de l’eurodollar pour retrouver timidement le chemin de la hausse.
Les prix du colza poursuivent leur retrait, au sein d’un complexe oléagineux particulièrement lourd.
La faiblesse du dollar et des inspections hebdomadaires dynamiques ont redonné un peu de soutien aux prix du maïs.
Au Salon de l’agriculture 2023, la filière céréalière annonçait le lancement de sa feuille de route afin de fixer la stratégie de décarbonation aux horizons 2030 et 2050. Sans attendre, les acteurs de terrain œuvrent au déploiement des leviers qui visent à réduire les GES et stocker le carbone afin que l’agriculture française prenne toutes ses responsabilités dans les trajectoires d’atténuation du changement climatique.
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