Le projet européen Pro-Wild a officiellement démarré en septembre 2024 pour 5 ans dans le but de protéger et promouvoir les espèces sauvages apparentées aux plantes cultivées. Coordonné par Inrae et rassemblant 19 partenaires à l’international, ce projet vise à exploiter le potentiel génétique des espèces de plantes sauvages pour améliorer la résilience et l’adaptabilité des cultures au changement climatique.
Les prix du blé repartent à la hausse en réaction à des conditions climatiques dégradées dans de nombreux bassins de production.
Les cours du colza reprennent leur dynamique haussière, dans un marché encore indécis face au contexte géopolitique.
Le groupe Safer a tenu à clarifier hier les éléments qui ont conduit à privilégier l’un des deux projets de reprise d’une ferme de 170 ha dans le Maine-et-Loire, après une forte mobilisation de la Confédération paysanne qui dénonce un conflit d’intérêts et le refus d’installer de jeunes agriculteurs en bio.
Les prix du maïs et du soja ont perdu du terrain en réaction à la chute des cours du brut et à l’avancée des récoltes américaines.
« La pluie ne laisse que peu de répit pour avancer », indique Anne-Laure Durand. L’agricultrice de Seine-et-Marne a démarré les premiers semis de blé tendre lors d'une accalmie en fin de semaine dernière, mais attend encore de récolter son soja qui ne mûrit pas. Elle témoigne d’une « situation financière et morale compliquée » pour l'agriculture française.
A peine 12 000 tonnes de miel ont été récoltées en 2024 en France, soit près de 40 % de moins que l'année précédente, du fait des conditions climatiques, pluies et gelées tardives, a annoncé mardi l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf).
Les prix du colza subissent la pression du complexe soja et enregistrent un retrait technique.
Les prix du blé et du maïs subissent quelques pertes, malgré des conditions climatiques préoccupantes en Europe de l’Ouest.
Les marchés des céréales et des oléagineux sont de plus en plus difficiles à lire, entre « infobésité » d’un côté et de l’autre manque de données fiables sur la demande, les stocks et les flux. Patricia Le Cadre, directrice du Cereopa et spécialiste des marchés des matières premières agricoles, revient sur cette opacité croissante qui alimente la volatilité des prix.
[Contenu proposé par La Pomme de terre française] Selon Yves Capoen, responsable des achats pommes de terre de Clarebout, l'usine de Dunkerque de l'industriel belge tournera à plein régime dès janvier 2025.
La destruction des forêts s'est poursuivie l'an dernier, que ce soit pour laisser place à l'agriculture en Bolivie ou au nickel en Indonésie, à un rythme incompatible avec l'ambition de mettre fin à la déforestation à la fin de la décennie, selon une étude de référence publiée mardi.
Les prix des céréales retrouvent un peu de fermeté à Chicago, dans un contexte de tensions géopolitiques accrues.
Le spécialiste a organisé mi-septembre un évènement consacré à la transmission de l’ETA de l’Elorn dans le Finistère, attirant des enchérisseurs du monde entier (jusqu'en Australie !). John Deere, New Holland, Claas, Kuhn, Pichon, JCB… 99 machines ont été écoulées.
Températures fraîches et pluies ont marqué la campagne maïs 2024, avec des semis très échelonnés sur mai voire juin. Ce qui a eu des conséquences sur le développement des cultures. Des questions se posent aujourd’hui quant au positionnement des récoltes. Les équipes Arvalis des régions Auvergne, Centre et Ile-de-France proposent des éléments de réponses pour trouver le meilleur compromis dans le contexte actuel.
Le colza résiste à la pression du soja, aidé par le rallye haussier de l’huile de palme et des cours du brut.
Les cours du blé et du maïs poursuivent leur mouvement de consolidation.
Mis au point et fabriqué en France par l’entreprise CR Industry, ce support, le TM 4, s’attelle au tracteur. Il permet de disposer d’un moyen de locomotion rapide en cas de besoin.
La montée du dollar Index et des prises de bénéfices ont renvoyé les cotations américaines dans le rouge, tandis que les cartes météo annoncent des améliorations en Russie.
Le spécialiste français des légumes en conserve et surgelés Bonduelle plonge dans le rouge pour son exercice décalé 2023-24, avec une perte nette de près de 120 millions d'euros, notamment en raison d'une dépréciation d'actifs en Amérique du Nord, en dépit de ventes stables.
Pages