Emmanuel Macron a appelé samedi « tout le monde à être respectueux avec les agents » de l'Office français de la biodiversité (OFB), cible d'attaques récentes du monde agricole et politique, ajoutant vouloir « regarder en apaisant les choses » les sujets liés au port d'arme par cette police de l'environnement.
Les prix du maïs et du soja ont perdu du terrain, tandis que le blé a retrouvé un peu de hauteur à Chicago.
Visites politiques encadrées et les vaches seront bien gardées ? Le 61e Salon de l'agriculture est inauguré samedi à Paris par Emmanuel Macron, attendu au tournant par des agriculteurs toujours remontés et par des organisateurs aux aguets après sa visite chaotique de l'an dernier.
Dans de nombreux secteurs, les céréales d’hiver souffrent de l’excès d’eau, malgré le stade « tallage » réputé pour être tolérant. Quelques conseils pour décider de la marche à suivre, entre retournement de la culture ou ajustement de l’itinéraire technique.
C’est le thème qui a réuni producteurs, organismes stockeurs (OS) et semenciers lors d’une table ronde organisée début février aux rencontres de la filière semences à Paris. L’occasion de mettre en avant « une filière protéagineuse sinistrée mais pleine d’atouts ».
Pour le Sia 2025, la Banque Populaire lance à son tour un prêt « Nouvel installé en agriculture », au taux préférentiel de 1,90 %. Il s'ajoute à l'offre de prêts soutenus par l'Etat à hauteur de100 millions d'euros en faveur des jeunes agriculteurs.
Les cours du colza montent à nouveau, tirés par le canola canadien et l’huile de palme.
Les prix du blé repartent timidement à la hausse face à des conditions de cultures encore dégradées en France.
À la veille de l'ouverture du 61e Salon international de l'agriculture, son président Jérôme Despey défend sa décision d'encadrer mieux les visites politiques pour faciliter le dialogue avec des agriculteurs qui attendent des réponses face aux crises multiples.
« L'agribashing », ce terme qui désigne les critiques perçues comme injustes de certaines pratiques agricoles, s'efface peu à peu du débat public. Pour convaincre le public et les politiques, agriculteurs et autres professionnels du monde agricole ont privilégié « la communication positive », même si c'est « la colère » qui a dominé 2024.
« France, veux-tu encore de tes paysans ? » : depuis plus d'un an, la question résonne d'Occitanie aux Ardennes. Une colère profonde est montée des campagnes pour réclamer un « revenu décent » et « un peu de considération » dans un monde agricole chahuté par le changement climatique.
À la veille d'un salon de l'agriculture parfois plus attendu par les politiques que par les agriculteurs eux-mêmes, récit de plus d'un an de colère agricole.
Les prix du blé ont poursuivi leur rapide mouvement de contraction après les précipitations neigeuses constatées aux États-Unis.
Alors que les prix des engrais azotés s’envolent ces dernières semaines, 54 % des lecteurs interrogés par Terre-net sont complètement couverts pour la campagne en cours et 10 % ne le sont pas du tout. Et vous ?
La loi d'orientation agricole a été définitivement adoptée au Parlement jeudi, point final d'un sprint pour délivrer avant le Salon de l'agriculture ce texte présenté comme une réponse à la grogne du secteur, mais critiqué à gauche pour des « renoncements » environnementaux. Le projet de loi d'orientation agricole est bâti autour de la notion de « souveraineté alimentaire », avec l'objectif affiché d'accélérer l'arrivée de nouvelles générations d'agriculteurs délestés de certaines contraintes environnementales. (Article publié initialement à 10h33 et mis à jour à 17h37)
Les prix du colza s’appuient à nouveau sur la fermeté du canola et des huiles pour gagner du terrain.
Les aléas climatiques continuent de bousculer les prix du blé tendre et du maïs.
Les associations de défense de l'environnement s'insurgent contre la loi d'orientation agricole, sur laquelle un accord a été trouvé mardi au Parlement et qui pourrait être adoptée aujourd'hui, dénonçant des « régressions environnementales sans précédent » et une « loi contre l'environnement ».
La loi d'orientation agricole va être définitivement adoptée au Parlement jeudi, point final d'un sprint pour délivrer avant le Salon de l'agriculture ce texte présenté comme une réponse à la grogne du secteur, mais critiqué à gauche pour des « renoncements » environnementaux.
Faute de réponse à ses revendications, l'intersyndicale de l'Office français de la biodiversité (OFB), cible d'attaques du monde agricole et politique, a appelé mercredi à « durcir le mouvement » et à une nouvelle grève le 25 mars, après celle inédite et fortement suivie fin janvier.
La formation de couverture neigeuse en Russie et aux États-Unis a plongé les prix du blé en territoire négatif.
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