Les cours des céréales remontaient mercredi sur le marché européen après des semaines de chute, les prometteuses récoltes estivales, notamment en maïs aux Etats-Unis et en blé dans le bassin de la mer Noire, pesant sur les prix.
Le retour d’un climat sec et chaud en France profite aux cultures de printemps. En Ukraine, le manque d’apports reste toutefois source de préoccupations.
Dans sa dernière vidéo publiée sur Youtube, Sam, agriculteur dans le Centre et conseiller agricole indépendant, revient sur la préparation de ses semis de colzas 2024 et pourquoi il a choisi de réaliser en majorité un seul passage de travail du sol cette année.
Si le prix moyen des terres est en hausse, le marché foncier était globalement en recul en nombre, surface et valeur dans la région l’année passée.
Le colza profite d’un affaiblissement de l’eurodollar pour se maintenir à la hausse, malgré un ralentissement du complexe oléagineux.
Les prix des céréales poursuivent leur rebond sous l’impulsion d’un mouvement paritaire favorable.
Touché au niveau des jambes suite à un accident, Dimitri Gavanon ne peut plus être chauffeur routier. Alors il choisit de devenir agriculteur, un métier qui l'a toujours attiré mais difficile physiquement surtout avec son handicap. Certes ce n'est pas toujours simple, mais avec des aménagements, il y arrive et est heureux de cette reconversion.
Depuis le 20 août, la rédaction vous invite à voter pour votre machine préférée. Il ne reste plus que quelques jours avant la fin du vote, prévue le vendredi 30 août à minuit. L’occasion ou jamais de récompenser le constructeur qui selon vous, se décarcasse pour créer des outils dont l’innovation vise d’abord à vous simplifier la vie. Vous êtes déjà nombreux à avoir voté et il est encore temps de le faire ! Rendez-vous à Innov-agri à Ondes le mercredi 4 à 18h pour connaître le palmarès.
La vive montée des températures dans le Midwest a motivé un sursaut des cotations américaines.
Pour les lecteurs de Terre-net, la campagne 2023-2024 ne sera « pas rentable », avec « un mauvais retour sur investissement dans les champs » s’ajoutant à celui de 2016. Ils ont beau « faire et refaire les comptes, il en manque toujours autant à la fin ». La pire moisson depuis 40 ans mais également « le pire chiffre d’affaires ! », martèlent-ils. L’illustration parfaite du manque de rentabilité de l’agriculture et de la vulnérabilité toujours plus forte des exploitations, pour les jeunes installés récemment en particulier.
La Fédération Nationale des Cuma (FNCuma) propose un « plaidoyer en faveur d’une mécanisation responsable, durable et vivable » pour favoriser la mutualisation et lutter contre le « suréquipement ».
[Contenu proposé par La Pomme de terre française] En 2016, lorsque Mickaël Joubier et son frère David ont décidé de convertir leur exploitation au bio, ils étaient principalement animés par l’envie de relever un défi technique.
Application dédiée aux tours de plaine, Spotifarm a annoncé le lancement d’une nouvelle fonctionnalité : la prévision des dates de récolte pour le maïs ensilage et grain, afin d’optimiser au mieux les chantiers.
Trésoreries mises à mal, réorientations voire arrêts d’activité, moindre présence de la France sur le marché mondial : l’économiste Thierry Pouch revient sur les répercussions possibles de la moisson très décevante de blé tendre français.
Les prix du colza consolident dans le sillage du soja et des cours du brut, malgré des prix des huiles encore fermes.
Le blé et le maïs enregistrent une performance stable à baissière à la mi-journée, face à une concurrence mondiale compétitive.
Face à une moisson 2024 catastrophique, le gouvernement a mis en place des mesures de soutien aux agriculteurs. Parmi elle, le dégrèvement de la Taxe foncière sur les propriétés non bâties.
Des cartes météo favorables ont tiré les prix du maïs à la baisse, tandis que le complexe soja a profité du regain des cours du brut.
À l’instar des autres grands secteurs d’activité, l’agriculture prend en main sa trajectoire de décarbonation. Rappelons que le secteur agricole contribue à hauteur de 20 % aux émissions de gaz à effet de serre (GES). Mais il a aussi cette particularité de contribuer à stocker du carbone. Autrement dit, l’agriculture peut « jouer » sur les deux tableaux.
Le prix des terres libres est resté relativement stable dans la région l’année dernière, autour de 5 540 €/ha, un prix assez peu représentatif de la très grande diversité du territoire.
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