Application dédiée aux tours de plaine, Spotifarm a annoncé le lancement d’une nouvelle fonctionnalité : la prévision des dates de récolte pour le maïs ensilage et grain, afin d’optimiser au mieux les chantiers.
Trésoreries mises à mal, réorientations voire arrêts d’activité, moindre présence de la France sur le marché mondial : l’économiste Thierry Pouch revient sur les répercussions possibles de la moisson très décevante de blé tendre français.
Les prix du colza consolident dans le sillage du soja et des cours du brut, malgré des prix des huiles encore fermes.
Le blé et le maïs enregistrent une performance stable à baissière à la mi-journée, face à une concurrence mondiale compétitive.
Face à une moisson 2024 catastrophique, le gouvernement a mis en place des mesures de soutien aux agriculteurs. Parmi elle, le dégrèvement de la Taxe foncière sur les propriétés non bâties.
Des cartes météo favorables ont tiré les prix du maïs à la baisse, tandis que le complexe soja a profité du regain des cours du brut.
À l’instar des autres grands secteurs d’activité, l’agriculture prend en main sa trajectoire de décarbonation. Rappelons que le secteur agricole contribue à hauteur de 20 % aux émissions de gaz à effet de serre (GES). Mais il a aussi cette particularité de contribuer à stocker du carbone. Autrement dit, l’agriculture peut « jouer » sur les deux tableaux.
Le prix des terres libres est resté relativement stable dans la région l’année dernière, autour de 5 540 €/ha, un prix assez peu représentatif de la très grande diversité du territoire.
CNH Industrial poursuit le recentrage de ses activités. En mai, le géant du machinisme s’était séparé des charrues Överum. C’est au tour de Kongskilde de quitter le groupe, selon une information révélée par Matériel Agricole.
29 % des lecteurs ayant répondu à notre sondage sur la commercialisation du blé tendre 2024 ont déjà vendu toute leur récolte de l’année. 10 % en ont vendu plus des trois quarts, 12 % entre la moitié et les trois quarts, 49 % moins de la moitié. Et vous, où en êtes-vous de la commercialisation de votre récolte ?
Le colza s’engage dans le sillage haussier des cours du brut et des huiles végétales.
Le blé UE reste plombé par la concurrence russe, tandis que le maïs recule face aux perspectives de production US.
David Autret souffre d'un handicap, invisible, la maladie de Crohn. Salarié agricole, il joue la transparence avec ses employeurs et ça fonctionne plutôt bien. La plupart sont compréhensifs quand il a des coups de fatigue, d'autant qu'il participe à toutes les tâches avec motivation.
Les ventes américaines continuent de porter les prix du soja, mais le maïs et le blé restent orientés à la baisse.
[Contenu proposé par La Pomme de terre française] Les inondations survenues en novembre dans le polder des Wateringues ont rappelé au grand public la fragilité de cette région face aux aléas climatiques. Pour les agriculteurs de la zone, tels qu’Antoine Peenaert, ce risque fait partie du quotidien.
Choix du Canada de triturer localement son canola, réflexion en Europe autour des biocarburants, impact des pays de l’Opep sur les cours du pétrole, etc. : quelle influence les décisions politiques peuvent-elles avoir sur le marché du colza ? L’analyste Arthur Portier (Argus media France/Agritel) répond à nos questions.
Une partie de l'est des Bouches-du-Rhône a été placée vendredi en « alerte renforcée » voire en « crise » face à la sécheresse par la préfecture, qui a appelé à « avoir un usage économe de l'eau ».
Dans le cadre de la Planification écologique, le ministère de l'Agriculture a lancé, cette semaine, l'appel à projets « Amélioration de la modélisation et des seuils de risque utilisés pour l'élaboration du Bulletin de santé du végétal (BSV) ».
Le prix des terres et prés libres non bâtis recule dans la région en 2023, dans un marché en repli.
Les prix du blé sont encore poussés à la baisse par la pression des origines mer Noire.
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