Le colza tente de repartir à la hausse, dans le sillage d’une huile de palme en plein sursaut.
Une partie du sud du département des Alpes-de-Haute-Provence a été placée jeudi en « alerte renforcée » voire en « crise » face à la sécheresse, entraînant des « restrictions plus fortes » de l'usage de l'eau, a annoncé la préfecture.
La perspective de récoltes massives aux États-Unis et un rebond du billet vert renvoient les céréales américaines dans le rouge.
Le constructeur américain propose un pack d’adaptation comprenant l’équipement de base, agrémenté de licences annuelles, « à faible coût ».
Au 22 août 2024, Arterris dresse le bilan de sa collecte d’été marquée « par un rendement moyen en recul de 10 % par rapport à l’année 2023, qui avait pourtant déjà connu des résultats historiquement bas ».
Après, pendant et même avant qu'elle ne commence, les lecteurs de Terre-net n'ont cessé de partager craintes et déception sur la récolte de cette année, en quantité comme en qualité. Une « catastrophe », une « superbe gamelle », un « beau bordel » : les qualificatifs employés diffèrent pour des rendements et des PS au ras des pâquerettes partout ! Même si vous vous attendiez à de tels résultats...
Présentée en avril dernier, la plateforme est en ligne et peut désormais être téléchargée via l’App Store ou Play Store.
Cette année, la pluviométrie a été assez inégale selon les secteurs. Si beaucoup avancent dans les semis de colza avant l'arrivée de nouvelles perturbations pour la fin de semaine, certains observent les premières levées.
Les menaces de grève au Canada et le climat sec et chaud dans la Corn Belt motivent un rebond des céréales, toutefois timide.
Le colza échoue à conserver ses gains, malgré un complexe soja plus ferme et la bonne forme de l’huile de palme.
Amputé de son avant-bras gauche il y a une dizaine d'années, Michel Chevalier, agriculteur dans le Morbihan, n'envisageait pas de changer de métier. Cela n'a pas été facile mais il a adapté ses pratiques et quelques matériels pour continuer son activité. Quand il a besoin, il s'appuie sur ses salariés. (Article paru initialement le 25 janvier 2024)
Dans sa note de conjoncture grandes cultures du mois d'août, Agreste a livré ses premières prévisions de production en tournesol. La récolte 2024 est évaluée en baisse de 10,1 % par rapport à la campagne dernière, mais en hausse de 6,8 % comparée à la moyenne quinquennale.
Des ventes encourageantes à la Chine et un climat sec et chaud dans la Corn Belt tirent les prix du soja US à la hausse.
Avec cette évolution, le déchaumeur à disques du constructeur suédois vise un travail superficiel du sol encore plus agressif.
Dans le monde de l'agriculture, chaque décision compte et peut avoir de grandes répercussions ! Imaginez, un agriculteur décide d'acheter une moissonneuse-batteuse pour simplifier son organisation. Pour rentabiliser cet investissement, il envisage de proposer des services de récolte à ses voisins. Sur le papier, cela semble être une excellente idée : il va maximiser l'utilisation de son matériel tout en rendant service à ses voisins. Attention, cette initiative apparemment anodine pourrait exposer l'exploitant à des risques sérieux de requalification fiscale et juridique.
La France renoue avec des conditions climatiques favorables, tandis que le bassin mer Noire continue de subir des températures élevées et un manque de précipitations.
La liste des grands noms du machinisme (Einböck, Wienhoff, Väderstad, Geringhoff, Evers et Dammann) partenaires ne cesse de s’allonger, validant le concept de cette innovation hors norme.
Récolte massive de maïs aux Etats-Unis, profusion de blé en mer Noire : les prix des céréales restent orientés à la baisse dans un marché mondial où l'abondance attendue n'encourage pas les importateurs à lancer de grosses commandes.
Encore très optimiste, le marché observe désormais les cartes météo aux États-Unis avec un peu plus d’appréhension. Les dernières prévisions annoncent en effet une nouvelle montée des températures dans une large partie de la Corn Belt durant les sept prochains jours, avec des maximales à plus de 35 °C dans plusieurs États producteurs, et une absence de précipitations notables durant la période. Ce climat sec et chaud risque en outre de perdurer sur le début du mois de septembre et d’altérer les potentiels des cultures de soja et de maïs, pour le moment encore très élevés.
Le colza profite du regain du complexe soja et du canola canadien pour retrouver un peu de hauteur.
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